FFEPT
FEDERATION FRANCOPHONE DE L’ELEVAGE ET LA PROTECTION DES TORTUES
La FFEPT est une association fondée le 16 décembre 2001 qui rassemble et coordonne les associations francophones (françaises et suisses en particulier) en relation avec d’autres structures équivalentes de l’Union européenne. Ses membres sont les associations chéloniophiles francophones.
Le but de la FFEPT est l’elevage et la protection des tortues (captives et sauvages).
Son Object est :
Regrouper les associations terrariophiles autour d’une charte éthique commune pour l’élevage et la protection des tortues.
Diffuser des informations sur l’élevage, la réglementation et la connaissance des tortues.
Défendre les tortues captives en tant qu’ êtres vivants ayant droit à la vie.
Accompagner les éleveurs dans leurs démarches de régularisation administratives ou juridiques
Être l’interlocutrice privilégiée des éleveurs de tortues auprès des autorités de tutelle.
Défendre les tortues sauvages dans leur biotope
La FFEPT developpe des actions pedagogiques, informatives, de protection et de lutte contre la maltraitance, pourles tortues detenues en captivite.
L’élevage en captivité des tortues, lorsqu’il est correctement géré, permet un excellent taux de reproduction et doit entraîner l’arrêt du prélèvement d’animaux sauvages dans la nature ainsi que leur commerce.
La compétence et le haut niveau technique de certains éleveurs pourront servir à l’élaboration de plans d’élevage pour la constitution de groupes d’animaux pour toute espèce dont le biotope est en danger.
Vous elevez des tortues ?
Tout éleveur, qu’il soit débutant ou chevronné, a besoin :
d’échanger des informations,
de soins vétérinaires aux animaux,
de faire connaître ses expériences,
de bénéficier de nouvelles techniques d’élevage,
et de conseils de ses amis passionnés,
avec comme but principal le bien-être et le respect des animaux.
Tout détenteur de chéloniens a désormais la possibilité de légaliser son élevage en demandant l’autorisation préfectorale de création d’un élevage d’agrément, selon l’arrêté du 10 août 2004.
Ainsi, il ne se sent plus marginalisé comme c’était le cas auparavant.
Le statut d’animal captif est enfin reconnu.
Tout amateur de tortues peut dorénavant demander cette autorisation avant même d’acquérir des animaux.
Les services de l’État apprécient désormais la différence entre :
ceux qui aiment et élèvent des tortues (et qui pour cela sont prêts à faire des sacrifices financiers),
et ceux qui aiment l’argent et pratiquent le trafic des animaux, se moquant des interdits et du manque d’information.
Nos élevages sont d’importances variables et différents suivant les espèces élevées. Ils sont adaptés aux disponibilités de chacun. Cette passion est familiale, c’est avant tout une activité sentimentale et culturelle.
La federation
La structure fédérative mise en place permet un encadrement et une gestion des associations d’éleveurs amateurs.
Elle est le lien entre les associations d’éleveurs amateurs en assurant :
la qualité de l’élevage,
les soins vétérinaires,
les échanges de connaissances,
et les échanges de tortues (désormais possibles sous certaines conditions réglementaires).
Notamment sur :
l’information
l’organisation de diverses manifestations (expositions, rencontres techniques),
et les réponses aux questions des adhérents,
Elle diffuse un bulletin intitulé « Info-Tortues ».
Elle est également le porte-parole des éleveurs amateurs auprès des instances :
administratives,
vétérinaires
et scientifiques.